Ces africaines qui osent entreprendre et qui réussissent
Salut les filles, alors je dois admettre que je suis quand même fière d’écrire cette article aujourd’hui car il parle de femmes qui osent entreprendre et en plus réussissent. Certaines sont camerounaises d’autres non mais l’idée principale de cet article est de vous montrer des femmes belles, noires et entreprenantes 😉 .
A ce qu’il parait la jeunesse a le pouvoir de construire le monde de demain. La bonne nouvelle, c’est que cela est désormais de plus en plus possible avec la démocratisation d’internet : de nombreux jeunes ont la possibilité d’apprendre, d’échanger et de créer sur des thèmes qu’ils ne maîtrisent pas forcément.
Vannessa ZOMMI , Fondatrice de Emerald Moringa Tea, 21 ans. (21ème du classement Forbes 2016)
C’est une héroïne au grand cœur, qui en 2013 du haut de son cursus débutant en génie chimique à l’Université catholique de Buea, a monté une structure produisant un thé 100% bio à base de Moringa, une plante dont les vertus hypoglycémiantes bien connues aideront à faire régresser les chiffres du diabète, problème de santé majeur au Cameroun
GAELLE ENGANAMOUIT, Footballeuse professionnelle, 23 ans. (29ème du classement Forbes 2016)
Footballeuse à la crinière de lionne, Gaëlle Enganamouit est sans aucun doute la plus grande révélation qu’a jamais connu le football féminin au Cameroun et mon unique footballeuse préféré. Evoluant depuis 2016 dans le club suédois FC Rosengard, elle reçoit en 2015 le titre de meilleure joueuse africaine de l’année.
DIANE AUDREY NGAKO, Social Media Editrice chez Le Monde Afrique, Fondatrice de la plateforme Visiter L’Afrique, 24 ans. (10ème du classement)
Elle a crée en 2014 « Visiter L’Afrique », une plateforme numérique collaborative et interactive dédiée à la promotion du tourisme et de la culture africaine, Diane Audrey Ngako, véritable boule de dynamisme, adresse « une réponse aux médias qui montrent plus souvent une Afrique pauvre, malade et en guerre ». Le site répertorie à ce jour des centaines de récits de voyages à travers l’Afrique, de nombreux ambassadeurs et contributeurs dissémines de par le continent. Cela me fait plaisir que d’autres jeunes africains se rendent compte de la beauté de notre continent. Pour moi il n’y’a pas un pays plus beau que l’autre parce que la beauté est relative et se trouve dans les yeux de celui qui regarde, il suffit de bien regarder (bien , bien au delà de la pauvreté et de la saleté ) pour se rendre compte que notre pays est magnifique.
Yaye Souadou Fall
En deux ans, cette étudiante sénégalaise de 22 ans qui a créé une entreprise de broyage de pneus usagés. A seulement 20 ans et les poches vides, elle s’associe à 6 de ses camarades de classe pour relever ensemble un défi environnemental de taille : trouver une application utile aux milliers de pneus abandonnés dans les rues, nids de maladies et de pollutions. Elle est alors étudiante en école de commerce à l’ISM de Dakar, experte en gestion, logistique et comptabilité mais désarmée de compétences techniques. En plus de devoir écrire un business plan, le défi est maintenant de savoir que faire de ces pneus.
Comment inventer de nouveaux produits à partir de vieux pneus usés ? La fine équipe d’étudiants trouve la réponse après plusieurs semaines à chercher sur le web: un pneu broyé peut se transformer en une nouvelle matière à fort potentiel. Pour tester leur découverte, le groupe décide d’utiliser un outil pour le moins rudimentaire: un hachoir à viande. Après des résultats concluants, les idées d’usages fourmillent dans leurs têtes : ils décident de créer des carreaux utilisables comme revêtements de sol pour les terrasses, trottoirs ou aires de jeux. La start-up E-cover vient de naître. Souadou et son équipe ont essayé le crowdfunding, et ont dû essuyer le premier échec de leur jeune carrière. Il en fallait plus pour les démobiliser. Cette chute leur a tout de même permis de fédérer une communauté d’individus qui leur ont ouvert de nouvelles portes. De fil en aiguille, Souadou participe à de nombreux concours locaux et internationaux. En 2016 à l’Anzisha Prize, elle remporte 15 000 dollars. Voila un exemple d’entrepreneur qui a su voir des opportunités là ou d’autres ne ressentent que du dégout.
TAFFI WOOLWARE AYODEL
THANDOS’S SHOES est une marque de chaussure de chaussure. Elle conçoit des ballerines pliables pour les jeunes femmes. La chaussure se décline en différents tons et est conçus à partit de tissus traditionnels. Chaque collection accompagne un évènement.
J’aime que nous les jeunes faisions quelque chose de constructif et dont les effets sont visibles.
CHANTAL BUTARE
Chantal est une jeune rwandaise de 21 ans, étudiante sensible aux difficultés auxquelles les éleveurs et agriculteurs font face dans son pays. Elle crée une coopérative la KIDACO, qui a pour principale fonction de collecter le lait auprès d’agricultrices et éleveuses pour les aider à le revendre. Au moment j’ai lu l’article parlant d’elle, il était dit que l’entreprise regroupait déjà plus de 3200 membres.
Malala, A 19 ans devient l’icône de la génération start-up à Madagascar
Avec l’aide d’une ONG appelée Youth First, Malala a pu créer une petite entreprise de fabrication de sacs en papier. Il faut dire qu’elle a su choisir le bon timing, car depuis 2015, Madagascar interdit partiellement l’usage et la production de sacs en plastique. Une opportunité était donc à saisir. Et à ce jour, sa petite entreprise produit déjà près de 600 sacs écologiques par jour.
Je tiens à préciser que cet article est tiré d’autres sites tel que : afriquejeuneentrepreneur.com
J’ai juste apporté un peu de touche personnelle, j’ose quand même espérer qu’il vous aura plus et je compte un jour e faire un seulement dédicacé aux entrepreneures camerounaises. Bien sur les hommes aussi font de belles choses pour notre continent mais je trouve que l’on parle souvent très peu des femmes qui arrivent à en faire de même. Je vous invite à donner votre avis de manière constructif dans les commentaires.
LAROCHE.